Nom : Avitus le Purificateur
Age : 34
Sexe : Masculin
Profession : Prêtre
Pays : Terre
Ville : Boléro Maa & Kayu Maa
Domaine de prédilection : Feu
Description morale Avitus
Si je devais me décrire, moi Avitus prêtre du Feu, je dirais que je suis quelqu'un de posé et de réfléchi. Un de mes principes moraux est d'aider son prochain. Quand quelqu'un est dans la détresse et que je peux l'aider je ne m'en prive pas, même s'il n'y a pas d'argent à la clé. Je suis aussi un homme aimant l'aventure, droit et loyal. Je tiens toujours mes promesses et n'aime pas le mépris. J'aime la nature, le feu. Je suis toujours de bonne humeur et j'évite de me mettre en colère, bien que je sois très sensible aux éléments détruisant ce que j'aime. Il n'est pas rare de me voir la larme à l'oil durant des cérémonies ou lors de découvertes sinistres.
Description physique Avitus
Comme vous avez dû le voir sur mon portrait, mes yeux sont rouge comme la braise au fond de la cheminée. Mes cheveux châtains clairs aux lueurs légèrement rouges viennent réchauffer les trais jeunes de mon visage. Je suis plutôt musclé et dépourvu de poils. De mes lèvres pulpeuses émanent mes saintes paroles, au devant du tatouage d'un symbole liturgique qui m'a été donné lors de mon entrée dans l'Ordre.
Description vestimentaire Avitus
Vous me reconnaitrez sans nul doute si vous me croisez dans ma tenue sacerdotale. C'est une grande toge rouge sang parcourue de symboles et de gravures dorées. Au bout de chaque manche et en bas de ma toge sont gravés des écris saints de mon Ordre. Ma cape pourpre en tissu dense se marie très bien avec ma tenue de cérémonie et n'est pas très sujette aux effets du vent, me permettant de rester concentrer durant des incantations où les bourrasques auraient pu me renvoyer la cape au travers de mon visage.
Malheureusement, les combats sont inévitables lorsque l'on part en quête, je porte donc une cuirasse de maître forgée par des maîtres nains de Boléro Maa. Elle fut taillée de sorte que je puisse la porter par-dessus ma tenue de cérémonie et elle dispose de deux points d'attache pour ma cape. Quant à mes pantalons, ils sont en velours rouge ou noir, avec des motifs de feu.
Qualités, Défauts, traits de caractères...
Loyal jusqu'au bout Une importante qualité dont je fais preuve est la fidélité, la loyauté. Si un de mes amis est en détresse et requiert mon aide, je m'empresse de répondre à sa demande d'aide. Ainsi une personne a qui j'ai promis aide et soutien ne sera jamais déçu de ma parole, même si c'est au péril de ma vie. Ne jamais abandonner ses amis, sa famille et les personnes à qui on a donné sa parole de l'aider.
On pourrait voir une contradiction entre ce que je vous affirme et le fait que je parte loin de Kayu Maa. Je n'abandonne pas ma mère, elle m'a demandé de continuer d'enquêter sur Sifavak et c'est ce que je ferai quoi qu'il advienne.
Né d'un père guerrier du feu et d'une mère boulangère de la terre, je suis Avitus, prêtre du feu et chasseur d’hérétiques. Vous voulez savoir d'où vient cette vocation de chasseur d’hérétiques?? Vous allez le savoir en parcourant les lignes écrites de ma main, lors de la rédaction de mon autobiographie.
Souvenirs difficiles La nuit, si éclairs lumineux et/ou forte détonation
Jet de volonté (le total fixé suivant à quel point ça y ressemble etc, en gros entre 15 et 20-22)
En cas d'echec, confusion (voir page 572) pendant la durée de l'effet + 1d4 rounds
Roleplay
Tout commença en l'an 1584 /*MJ, peux-tu mettre une date qui va bien s’il te plaît??*/, mon père Maccarius le Pourfendeur rencontra ma mère Orangys lors d'un grand bal animé en l'honneur des 4 Dieux qui animent notre sainte planète… Ils tombèrent amoureux dès le premier soir. Quelques années plus tard, ils se sont mariés et eurent deux enfants. Ma sœur aînée, Alys, et moi-même Avitus. Mon père était originaire d'une grande cité appelée Boléro Maa, où les habitants vénéraient le culte de la Déesse du feu, Apoy. Ma mère, elle, était originaire d'un village de bûcherons : Kayu Maa. Après leur mariage, mon père étant las des combats, ils s'installèrent au petit village de ma mère. Je vécu là-bas jusqu'à l'âge de 20 ans. Comme tous les enfants du village, je suis allé à l'école et j'ai appris la géographie, les mathématiques et bien d'autre. Mais il y a des choses que l'on ne nous a pas apprises... Qui a-t-il de l'autre côté de la barrière de sable.. Que se cache-t-il dans le désert que tout le monde fuit??
Mon père un jour m'a promis qu'il répondrait à mes questions. Et c'est depuis le jour où il a voulu me répondre qu'est née ma vocation... Vous allez savoir pourquoi.
Lors de ce jour maudit, mon père m'emmena hors du village, loin de ma maison, j'avais alors 20 ans. Nous arrivâmes après 5 jours de cheval dans la ville de Boléro Maa. C'était magnifique, des bâtiments sculptés à même la roche de la grande montagne qui surplombait la ville. Des arches, des églises, des temples... Mes yeux étaient alors éblouis pas une telle beauté. Le sol était de marbre par endroit. Les places publiques, avec en leur centre une fontaine sous les pieds d'une colossale statue, se suivaient à tous les carrefours de l'axe principal de la ville. Nous nous rendîmes au temple Cyrus. Sa porte était faite en un bois massif incrusté de pierres et de gravures. Les gonds, eux, étaient en adamantine. Lorsque les portes s'ouvrirent, nous pûmes entrer dans le temple. C'était divin... Des bougies, des sculptures, des hôtels, des immenses colonnes de granit soutenaient la voûte céleste du temple. Mon père m'amena devant un hôtel sur le côté droit. Il m'expliqua alors le pourquoi nous étions là. Et je n'oublierai jamais les premiers mots qu'il me souffla.
« Tu vois cet hôtel mon fils? C'est ici que repose ton grand-père. Il a été tué en tentant de percer les secrets d'un homme appelé Sifavak »
Mon père se lança alors dans un grand récit épique à la mémoire de mon grand-père, dont je n'ai pu avoir la joie de le connaître. Mon père est un homme du feu, comme mon grand-père. Il m'expliqua alors que j'étais l'héritier de la famille (logique, je suis du feu moi aussi). Il me donna alors deux vieux parchemins, rongés par le temps, en me disant « Mon fils, voilà les écrits que ton grand-père a étudié pendant de longues années, avant de partir à l'aventure ». L'un de ces parchemins était un poème de Sifavak lui-même. L'autre, du même auteur, était un récit racontant l'épopée des dragons. Père me dit alors « Mon fils, Avitus, je t'en prie, ne commet pas la même erreur que ton grand-père. Prends soin de bien te préparer avant de partir. Je te lègue ces parchemins, comme ton grand-père l'a fait avant de partir. Fais-en bon usage, étudie-les, cherches en les secrets... Mais surtout, si tu te rends dans le désert, prends garde à toi... D'étranges créatures y vivent d'après ce que ton grand-père a su. Fais très attention mon fils. Tu m'as compris??? ». Il rajouta alors : « Mon fils, c'est une mission très délicate que je te confie, mais cela fait des décennies que notre famille cherche. Moi je suis trop fatigué pour continuer. Quoi qu'il m'arrive, Avitus, n'arrête pas ta quête! ».
A ces mots, j'acquiesçai en hochant la tête et en attrapant les deux rouleaux de parchemin. J'avais alors en ma possession les écrits qui tuèrent mon grand-père. Je suis resté assez dubitatif, contemplant les rouleaux que l'âge avait usé.
Sur le chemin du retour, par une nuit froide et sombre, nous fûmes attaqués par ce qui ressemblait à un petit groupe de mages portant des masques pour cacher leur visage. Ce n'étaient pas des masques lambda, c'étaient des masques de dragons. Ils étaient 4, chacun possédait un maque de couleur différente : rouge, vert, bleu et blanc. Mon père, ancien défenseur de la cité de Boléro Maa, mis pied à terre et se mis en position de combat, face à eux, pour nous défendre. C'est alors que, à quelques dizaines de mètres, le ciel devint rouge sang. Des champs guerriers s'élevèrent au-dessus d'un gigantesque brasier qui venait d'être allumé en quelque secondes. C'était sans aucun doute de la magie et devant le spectacle qui s'offrit à moi, je restais figé, paralysé par la peur. Mon père s'approcha en tentant de porter un coup au mage bleu. C'est alors qu'il me contraint à rester loin, en sécurité. A peine eut-il le temps de me donner ses consignes, qu'un bruit strident fendit l'air. Des chaînes d'éclairs frappèrent avec violence le sol, enflammant l'herbe et les arbres. Et c'est alors que je le vis... un pillard, possédant un masque composé des 4 couleurs, s'avança en lançant un sort sur mon père. Suite à ce sort mortel, mon père s'effondra. « Nonnnnnnnnnnnnn!!!!! » que j'hurlais.
Je mis des semaines à m'en remettre. Quant aux mages, des gens disent qu'ils ont été vaincus et qu'ils ne reviendraient jamais, moi je n'y crois pas. Un beau matin, en allant au marché, je rencontrais un homme vêtu d'une grande toge blanche et d'une armure flamboyante. Il m'interpela pour me demander le chemin pour se rendre à Olimun Maa (une petite ville à 50Km au Sud). En lui indiquant le chemin, je me permis de lui poser une question « Qui êtes-vous Monseigneur, êtes-vous de la région? ». Il me répondit « Je suis Aloréus, prêtre purificateur, je suis à la recherche d'un groupe d'hérétiques, avez-vous entendu parler d'eux?? ». Je lui répondis que non et il s'en alla.
Après quelques semaines sans rien faire, je décidais de mener une enquête sur les 5 bandits qui ont tué mon père. Ces recherches durèrent près d'un an et à force de persévérer je finis par découvrir qui ils étaient. Ce sont ce que l'on appelle des hérétiques. Ils faisaient partie d'une secte dont l'unique but est de répandre le mal, le chaos et la souffrance sur notre monde. Mais ce n'est pas un hasard si leurs visages étaient masqués par une forme draconienne de chaque couleur élémentaire. Chaque groupe d'hérétiques est formé par un magicien (mage, ensorceleur, etc...) de chaque élément. Le groupe qui a eu raison de mon père n'a pas échappé à la règle. Quant à savoir pourquoi ils n'ont pas tenté de me tuer, je n'en sais toujours rien.
C'est depuis cette rencontre que ma vocation de la traque aux hérétiques m'est venue. Je me suis rendu au temple de l'Ordo Exterminus et m'y suis enrôlé. Avec le temps, j'ai appris à chasser ces vils hommes. Durant plus de 10 ans, j'ai parcouru la Terre à leur recherche. C'est avec ce temps de travail que j'ai pu acquérir un jour le rang de « Grand-Maître ». Et depuis, je suis un Grand-Maître du feu qui traque les hérétiques qui osent vouer des cultes noirs.
Mais un jour, je suis retombé sur les deux vieux parchemins de Sifavak. Je fus pris de curiosité et je commençai alors mon enquête sur ce fameux Sifavak. Surtout que les mots de mon père me revinrent « Fils, tu dois poursuivre notre mission. Et c'est alors que je suis pris d'une grande curiosité... Y a-t-il une relation entre Sifavak et ces vils hérétiques? Il parle de dragon, les hérétiques portent des masques de dragon... Il y a peu de chances qu'il y ait un lien, cependant cela m'intrigue au plus haut point. Pendant quelques semaines je parcouru la Terre à la recherche de grimoires pouvant m'aider. Mais j'arrivais un jour à la conclusion suivante : pour élucider le mystère du désert, il faut s'y rendre... C'est ainsi que je partis à la recherche d'autres aventuriers qui voudraient eux aussi aller dans cet endroit hostile. Et c'est en me rendant à une bibliothèque que je rencontrai mes futurs partenaires d'expédition.
La rencontre fut très simple. En cherchant à aller à l'étage supérieur, un des bibliothécaires me demanda de m'arrêter car la salle était en quarantaine à cause d'une invasion de rats sanguinaires. C'est alors que je vis une créature, ressemblant fortement à un demi-elfe, bien équipée pour le combat rentrer dans la bibliothèque accompagné d'un gobelin aux allures... comment dire... bizarres. Ils cherchaient eux aussi à se rendre à l'étage pour trouver des informations sur le désert et cela faisait quelques jours qu’ils étaient arrivés. Nous discutâmes un moment tous les trois. Puis ils eurent envie d'aller éradiquer les rats pour rendre service au bibliothécaire. Nous allèrent alors à l’étage. Au bout de quelques heures nous avions quasiment tout éradiqué. « Klüne !! Attention » hurlais-je quand je vis une armoire tombée sur le petit gobelin. Je me suis alors jeté sur lui pour l’enlever de dessous le gros meuble qui allait s’effondrer sur lui. Je crois que j’aimais bien ce petit gobelin, ami de la nature… Peut-être que cet épisode aura tissé des liens entre-nous. Deux elfes étaient avec nous aussi ce jour-là, Erandal et son frère Elendel, mais il n’ont pas assistés à la dératisation. Ils préféraient rester en bas lire. Durant cette chasse aux rats, mes compagnons furent mordus. Et de peur qu’ils n’attrapent des maladies, je m’efforçais de les soigner au plus vite. Après cette aventure, nous apprîmes que le chef de la ville recherchait des volontaires pour traquer une bande de pillards rôdant aux alentours de la ville. Et c’est ainsi que nous décidâmes de nous engager. Durant cette quête dont il serait long et fastidieux de tout vous raconter, nous apprîmes à nous battre et à réfléchir ensemble. Erandal, par deux reprises m’a sauvé la vie en me protégeant de pièges mortels tendus par nos adversaires. J’eu une occasion de lui rendre la monnaie de la pièce en le sauvant d’un poison qui était en train de le consumer. C’est sans doute après avoir tués les pillards que nous nous rendîmes compte que notre groupe était efficace. Il apparaissait alors logique que nous cinq, dont le but est d’allé dans le désert, allions former notre premier groupe d’aventuriers. Notre groupe sera composé de Klüne, Kidor, Erandal, Elendel et moi-même.
Peut-être que mon récit vous a plus jusqu'à présent, mais je me rends compte en relisant mes lignes que vous ne savez pas grand chose de ma personne. Je vais donc vous donner un petit aperçu de qui je suis. J'ai toujours était quelqu'un de sage et de respectueux. Certains aimaient se pavaner devant les jeunes filles de la ville, racontant des mensonges et rabaissant les paysans. Moi personnellement, j'ai toujours était écœuré et dépité de voir ça. Si j'avais été assez fort et bon combattant, je m'en serais volontiers mêlé. La justice, l'obéissance, la gentillesse, le respect et l'amour de la nature sont mes principes moraux. Malgré cela, je possède aussi quelques défauts... Je suis du genre têtu et sans nul doute mauvais perdant au jeu. Quel rapport avec le récit que je vous ai cité précédemment?? C'est fort simple, offenser la nature, la détruire, en semant le chaos et la peur, moi je n’y adhère pas. Je requiers la justice. Ceux qui commettent ces hérésies ne sont pas les biens venus sur notre monde.
Avec ce document je joins un portrait réalisé par un ami à moi qui est un bon peintre. Si des fois vous veniez à me croiser, vous pourrez alors facilement m'identifier.
Ainsi s'arrêtent mes mémoires pour l'instant.
Avitus